La Lettonie, la Norvège, la Belgique et le Luxembourg sont les pays européens dont l’effort en faveur de la formation continue est le plus élevé. La France affiche des indicateurs au-dessus de la moyenne européenne mais qui ont tendance à stagner.
Si certains effets du Brexit sont encore difficiles à évaluer, le programme d’échange universitaire Erasmus+ en a déjà subi les conséquences.
En mai 2019, le Journal officiel de l’UE a publié un document intitulé « Recommandation du Conseil relative à une approche globale de l’enseignement et de l’apprentissage des langues ». Le Conseil de l'Union européenne estime qu'il est essentiel que les citoyens européens connaissent au moins deux langues étrangères en plus de leur langue maternelle.
Une analyse exclusive de plus de 100 millions de données météorologiques montre que toutes les grandes villes européennes sont plus chaudes au 21e siècle qu'elles ne l'étaient au 20e. Les régions subarctiques, l'Andalousie et le sud de la Roumanie sont les plus touchées. La France, notamment le Sud, n'y échappe pas.
L’OCDE a présenté une analyse des différents systèmes éducatifs appliqués dans les pays de l’OCDE et dans d’autres pays partenaires.
Les élèves issus de l’immigration font face à un certain nombre de défis sur le plan de l’intégration. Une situation qui influence leur apprentissage.
Quelles évolutions a connu le programme Erasmus ?
En Europe, tous les pays sont-ils logés à la même enseigne en matière d’éducation et plus spécifiquement en nombre d’élèves par enseignant ?
Crèches ou grands-parents ? Les modes de garde préscolaire varient beaucoup selon les pays, avec des conséquences importantes sur la parité.
Près de la moitié des étudiants européens dépendent de leur familles pour subvenir à leurs besoins et plus d’un tiers vit chez ses parents. Un phénomène particulièrement aigü dans le sud, mais pas uniquement.