Avant que le mot « confinement » n’entre dans le vocabulaire européen à la fin du mois de février, le télétravail était encore un mode de travail fantasmé par certains, redouté par d’autres, en tout cas inimaginable pour la plupart des salariés en Europe.
“Hypertrophique”, “mal géré”, “pléthorique”, “trop coûteux”… les idées reçues sur la fonction publique sont légion dans tous les pays. Pourtant, en utilisant de nouveaux indicateurs, on constate que la réalité est plus nuancée.
La pénurie de main-d'œuvre locale, un défi majeur auquel doivent faire face aujourd'hui de nombreux pays d’Europe de l’Est, est due notamment à des facteurs tels que la baisse des naissances, à l'allongement de la durée de vie moyenne et à l'émigration.
En quête de compétitivité, de nombreux Etats songent à réduire le coût du travail, en allègeant notamment les cotisations sociales. Mais est-ce la bonne solution ?
Comparée à d’autres pays européens, la France compte davantage de salariés payés au salaire minimum, mais ceux-ci ne sont pas pauvres pour autant.
L’Observatoire des inégalités est un institut français qui compile de nombreuses statistiques sur les inégalités.
Le débat sur la nécessité de mettre en place un salaire minimum au sein de l’Union européenne se heurte aux disparités qui existent entre les pays membres sur cette rémunération.
D’ici 2030, jusqu’à 20 millions de travailleurs du secteur de la production seront remplacés par des robots, selon un rapport de la société de prévision mondiale Oxford Economics. Des Britanniques ont déjà commencé à faire résistance – comme les luddistes du XIXe siècle – et sabotent délibérément les robots avec lesquels ils travaillent tous les jours. Ils ont peur que ceux-ci les remplacent.
La Grèce est sortie le 20 août dernier de la tutelle de la Troïka. Une intervention qui restera dans les annales comme un modèle de ce qu’il ne faut surtout pas faire si on veut réellement aider un pays à se redresser.
The battle for talent within the European Union is a story about both brain drain and gain. We have analyzed the migration patterns across the continent to create hundreds of reports going down to the regional level, paying special attention to highly skilled workers.