Le dernier classement de la liberté de la presse (édition 2020) publié par Reporters sans frontières met une fois de plus en évidence les risques auxquels sont confrontés les journalistes dans le monde entier. Le coronavirus n'est que la dernière menace qui pèse sur la profession.
Les 20 et 21 juin, la commission des affaires juridiques du Parlement européen a voté une directive proposée pour la réforme des droits d’auteur. Cela vous semble éloigné de la réalité ? Et pourtant, cette nouvelle directive pourrait bien façonner le fonctionnement d’Internet dans quelques années.
Les chiffres le montrent, les partis politiques ont durant les dernières élections dépensé des millions d’euros en supports de campagne sur Facebook, plateforme qui a de fait quasiment remplacé les meetings et autres formes de contact direct entre les candidats et les électeurs.
La Plate-forme pour renforcer la protection du journalisme et la sécurité des journalistes du Conseil de l'Europe a publié son rapport annuel 2019. L'analyse fait le point de la situation en matière de (non)sécurité des journalistes à travers l'Europe.
Même si les journalistes travaillent dans un environnement relativement sûr en Europe, ils risquent parfois leur vie
Le 25 avril, Reporters Sans Frontières (RSF) a publié son Classement mondial de la liberté de la presse pour 2018. La situation de l’Europe continue de se dégrader.
Le classement mondial de la liberté de la presse de 2019 de Reporters sans frontières (RSF) montre que les conditions de travail des journalistes se détériorent d’année en année. Et la mort de quatre journalistes en deux ans et demi devrait être une sonnette d’alarme pour ceux qui se préoccupent de la démocratie et de la liberté de la presse.
Une étude basée sur les données de Twitter met en évidence des niveaux distincts d'interaction entre les députés européens avant la campagne électorale européenne.
Les jeunes adultes font moins confiance aux médias d'information et sont moins susceptibles de penser que les médias d'information font du bon travail.
Les Italiens se trompent sur de nombreux aspects de leur société.